J’ai maudit la chambre blanche stérile où Ann est morte
La tristesse m’envahissait alors que je me tenais devant la porte de la chambre d’hôpital où Ann avait pris son dernier souffle.
Le sentiment de vide dans mon cœur était incommensurable, et je ne pouvais m’empêcher de maudire le décor froid et impersonnel de la pièce.
Les murs blancs et stériles semblaient refléter la réalité de la mort qui était venue emporter ma chère amie.
Chaque bruit étouffé dans le couloir rappelait l’agonie silencieuse qu’elle avait endurée, laissant un goût amer dans ma bouche.
Je repassais mentalement chaque moment passé à son chevet, priant pour un miracle qui ne viendrait jamais.
Et maintenant, la chambre était vide, à part mes pensées tourbillonnantes et mes souvenirs douloureux.
J’ai juré de ne jamais oublier cet endroit maudit, où la vie avait cédé sa place à la mort.
Chaque détail de la chambre blanche stérile était gravé dans ma mémoire, comme un rappel constant de la fragilité de la vie.
Je savais que je devrais apprendre à accepter la perte, mais pour l’instant, tout ce que je pouvais faire était de maudire cet endroit qui avait été le témoin de sa fin.
Peut-être un jour, je pourrais trouver la paix et tourner la page, mais pour l’instant, mes sentiments de colère et de regret remplissaient mon être.